Orthographe, conjugaison, grammaire...

je précise encore une fois que mon intervention que vous citez c'est minimum du second degrès
etant moi meme contre le language SMS, (je n'ai meme pas de portable c'est pour dire!)

Je suis la marche avec plaisir,et n'oublions pas la concordance des temps...

c'est vrai que c'est pénible le langage des Sciences Médico-Sociales

par contre, je vais peu etre me faire lyncher; mais je n'ai jamais accordé beaucoup d'importance aux accents....pourquoi ne pas les supprimer ?

C'est une filière technologique,aussi...
Faut vivre avec son temps,ils doivent anticiper l'épreuve que constitue le Français et écire sans T...

c'est une lettre importante : par exemple les anglais y ont meme consacré une heure

Y'a de quoi être vert,quand même...
Surtout que ces gens ont été abandonnés par tous leurs accents,ils se rattrapent sur les lettres,ça les consonnes sûrement.

c'est pas comme ça que je voyelle les choses

a ben c'est du joli; deux modos qui détournent un topic ! terroristes !!!

c'est un détournement pacifique (force Anis)

gardons notre exception culturelle s'il te plaît corey !
Je crois que seule la langue française utilise les accents. Anglais, niet ; allemand, nada ; espagnol peut-être ; chinois bof ; japonais pareil, et puis plein d'autres langues, si ce n'est toutes.
Donc mets les accents !

oui oui, les espagnols , a mon grand désespoir, utilisent des accents...

c'est quoi ton problème avec les espagnols corey?

aucun; sauf que je suis censé apprendre l'espagnol...et moi et l'accentuation espagnole...

Je ressors ce topic parce que je viens de trouver ça :

Un homme riche était au plus mal. Il prit un papier et un stylo pour écrire ses dernières volontés.
"Je laisse mes biens à ma soeur non à mon neveu jamais sera payé le compte du tailleur rien aux pauvres."
Mais le mourant passa l'arme à gauche avant de pouvoir achever la ponctuation de son billet. À qui laissait-il sa fortune ?
Son neveu décida de la ponctuation suivante :
"Je laisse mes biens à ma soeur ? Non! A mon neveu. Jamais sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres."
Mais la soeur n'est pas d'accord. Elle ponctue le mot de la sorte :
"Je laisse mes biens à ma soeur. Non à mon neveu. Jamais sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres."
Le tailleur demande la copie de l'original et ponctue à sa manière :
"Je laisse mes biens à ma soeur ? Non. A Mon neveu ? Jamais ! Sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres."
Là-dessus, les gueux de la ville entrent dans la maison et s'emparent du billet. Ils proposent leur version :
"Je laisse mes biens à ma soeur ? Non. A Mon neveu ? Jamais ! Sera payé le compte du tailleur ? Rien. Aux pauvres."

Ainsi va la vie : elle nous propose une version de l'existence sans point ni virgule, c'est à nous de la ponctuer... et c'est cette ponctuation qui fera toute la différence.

Pensez-y pour vos prochains posts...