Comme ce topic est dédié à la poésie, je me fais un peu de publicité avant de poster aussi un poème: mon recueil, intitulé Dents du Rêve vient de paraître aux Editions Elzevir (lien: http://www.editions-elzevir.fr/editions-Elzevir/livres/dents-du-reve_229 ) pour les curieux, c'est un début donc forcément le prix ne vaut pas forcément le livre mais ça, c'est pas moi qui peux juger! C'est un poème qui s'intitule "Au revoir" Enterrés, ces au revoir dont l'usage m'est amputé. Même arraché à ta compagnie, tu t'accroches, vivant dans mes pensées, te tortillant dans l'écume du souvenir qui m'engloutis dans la brise de ses profondeurs. Nous parlons, nos lèvres s'approchant toujours plus des éthers, ivres de vie. Les liens qui nous enserrent sont des abîmes où le vent se meure, des nuages de lierres qui escaladent nos remparts et baigne notre sein d'une chaude vapeur. Non, je ne veux pas te dire au revoir, supporter la vue de ta silhouette qui se retourne telle une catapulte. Ma grande forêt verdoyante desserre le corset du temps et du vide à ton apparition, mon compagnon, mon ami ! Voila, il vaut ce qu'il vaut, j'espère que ça vous a un minimum plu! Bonne continuation à tous! :) merci de nous l'avoir fait partager !!! J'en ai une , mais ce n'est pas vraiment un poeme, c'est une réflexion, une Ode a la sauge des devins, un brin délirant...ce n'est en aucun cas une incitation a consommer des substances hallucinogènes psychotropes, et enthéogènes de toutes sortes, meme si ca y ressemble beaucoup J'ai bien envie de revoir Sally, Sally et ses collines violettes, ses abysses de lumière, ses néants ou je pouvais perdre conscience comme bon me semblait.. oui j'ai envie de lâcher les commandes, enclencher le pilote automatique le temps de quelques chansons, poser mon crane et lui faire prendre l'air, même si dans l'espace il n'y en a pas.. poser mes bras, mes jambes, mes kilos de chair, mes yeux, ma peau, mon cœur, les poser devant la porte, arriver la nu, nu comme un atome, sans conscience, sans consistance, me gorger d'énergie céleste, d'amour, d'espoir, de vie, de couleurs, remettre toutes ces choses dans ma tete un peu trop sèche rêver, plus vivant que jamais a travers les millions de mondes qui s'ouvrent et qui passent saluer mon moi, parler avec lui de ce qui ne va pas mais ne plus penser ou bien si, penser mais autrement, profondément toucher a l'âme, savourer ma légèreté, chercher du regard l'existence d'une voix mystique et de ses raisons de vivre. être a la fois rien et tout, parler et rester muet comme une tombe, pour la plénitude de mon esprit. mieux cerner notre cohabitation, les comprendre, savoir ce qu'ils sont, ce qu'ils veulent me regarder autrement, regarder tout comme une grande règle de l'univers Oh sally c'est un bonheur qui n'existe que dans tes songes j'ai été trop longtemps privé de cette douceur, et je veux y retourner rien qu'un peu, pour peindre. www.brain-salad-surgery.deviantart.com
www.lukaleblond.skyblog.com Les Sagittaires sont calmes, doués, inspirés, et en plus ils sont sympas Destinée L'obsolescence de l'humanité, Qui fait écho à la mort de tous, Accompagnée par cette odeur de merde passée, Est l'idée qui dans le gouffre nous pousse, Nous sommes proche de la faim, Celle menant de funeste cortèges, Ramassant cadavres et carcasses sur le bord des chemins, Pourrissant sous quelques amoncellements de neige, Ce sera sur de fumant décombres, Que s'étendront leurs ombres, Ce noir si pur, De ces rapaces de mauvais augure, Ils viennent se délecter de ces gerbes intestinales, Où festoient vers et autres joyeusetés, A l'heure ou la rosée s'installe, La puanteur gagnera toute les vallées, La peste sera la dernière agonie, Des misérables survivants, Qui ont déjà perdu l'espoir et l'envie, De faire face à ce fléau conquérant, L'homme se meurt, Happé par la peur, Rongé par la vie, Qu'il ne vilipende que lui. c'est marrant on dirait un savant mélange entre un romantisme sombre et un punk bien dégueu ca fait carrément son effet!! y'a juste la dernière strophe qui ne fait pas le poids par rapport aux autres! www.brain-salad-surgery.deviantart.com
www.lukaleblond.skyblog.com Les Sagittaires sont calmes, doués, inspirés, et en plus ils sont sympas Faites attention également à la forme brève qui est TRÈS difficile à maîtriser. Préférez peut-être plus de mots, soyez plus descriptif dans un premier temps, et vous irez par la suite à l'essentiel. Rejetez les formes classiques et dites juste ce que vous avez à dire, je suis sûr que vous y gagnerez en fraîcheur. Courage ! Un ami... qui bosse dans le livre... enfin à vous de juger... tant d'idées dans ma tête qui n'ont aucun sens peut être suis je en quète d'une quelconque ordonance me donnant le droit d'être heureux enfin car le maleur en roi dans ce tunnel sans fin qu'est ce que la vie en fait ? avez vous réfléchie ? la mort peut être une fête ou reigne l'anarchie ou tout le monde trouve sa vois sa belle, sa dulciné, renversont cette croix qui nous blâme d'aimer car sommes nous conscient de notre emmerdement ? des heures, des années à soit disant penser, à ingurgité des dates indispensable juste pour gacher ce dont nous sommes capable qu'est ce que la vie en fait ? avez vous réfléchie ? aux montagnes et aux crètes aux loins dans notres esprits humain, ouvre les yeux ! ton avenir n'est pas la ! tu mérite bien mieu que d'crever ici bas est tu conscient qu'au delà de ces quatres mur il y a d'autres endroits et d'autres aventure ? faire du chiffre encor, est tellement abstrait le soir quand tu t'endort rêve tu à ce fait ? car la vie c'n'est pas ça le bonheur non plus le stress on le balancera mes ton esprit à nud repense à mes paroles quand le jour viendras ou en un derniere envol tu sauteras d'un toit à cause des problemes de boulot de chomages on te rendras quand mêmes un derniere hommage un hommage à un homme une personnes ordinaire qui c'est courbé aux normes comme moi et mes frères. cette chanson n'as pas de titre et la rythmique est plus que précaire. en claire : elle est loins d'être finis XD Les hommes sont passé prés de moi, les femmes m'ont longtemps regardé. Voyant dans leurs regards mon reflet, je me suis demandée, ce qu'elles pouvaient bien regarder. Le soleil brillé là bas, au fond, comme il n'avait jamais brillé auparavant. A chaque pas, j'ai tracé mon chemin, j'en ai longé des avenues, traversé des routes, je me suis arrêté au feu rouge, j'ai grillé des stops, philosophé dans des carrefours... Peut être aurais je préférer rester assise? Et j'ai vu les premiers rayons du soleil, comme je ne les avaient jamais vu auparavant. Les hommes m'ont éffleuré la peau, les femmes m'ont longuement parlé... Depuis quelques temps, je songeais à faire marche arriere, rembobiner le film quoi, mais les femmes m'avaient longuement parlé, et j'ai dû y repenser... Le soleil brillé a des milliers de kilometres, comme il n'avait jamais brillé auparavant. Je l'ai vu brillé, pourquoi? Non, je me suis juste demandée pour qui? Je croyais que les haricots étaient magiques, que les mirroires sonnés faux, que les mots reflaitaient mal les sentiments, que le monde n'étaient rien... J'étais juste assise au milieu de quelques parts, une quelconque place, destiné? Moi, j'ai vu les premiers rayons du soleil, comme je ne les avais jamais vu. Les gens passés, je voyais leurs vies défilées. Extrait de "Les chaussettes s'engagent aussi" - de moi =D Un poème fait dans la voiture: Le long d'une joue douce où coule une larme, Une mouche vient se poser. Qu'elle est donc cette idée infame, Qui fait d'elle un être détesté. La larme s'écoule comme un fleuve mort, Tandis que l'insecte ideux continu son trajet. L'auteur de cette larme portait-il des remords? On ne peut en douter. Le volatile pensa continuer sa route, Faisant raisonner son bourdonement. Mais devant un geste rapide et sans doutes, La mouche du s'arrêter avant. Echappant à la mort de son corps ridicule, L'insecte compris, et parti. L'enfant avait tant de rancunes, Qu'on pouvait voir l'instant d'après son corps meurtri. La bouche ouverte et les poignés en sang, Le jeune homme venait de se tuer, Cette chose qui fait souffrir tant d'enfants, Peut-on vraiment la trouver? Edit: Un autre, fait à la fin d'une soirée où je regardais comme un idiot les feuilles dans les arbres... Je le trouve moyen mais je le mets quand même! Elle dont la couleur varie au court des saisons. Elle dont le soufle perturbe son action. Condanné à rester parmis le feuillage, Pour achever à la fin son triste voyage. Sa vie fut longue mais ennuyeuse. Sait-elle au moins ce qu'est le sentiment d'être heureuse? A-t-elle une fois senti les parfums de la forêt, Cette grande étendu verte qui l'entourait. A la fin de l'été et au début de l'automme, La où commence sa dessente parmis les hommes. Regrette t-elle seulement les instants passés? Acrochée au bout d'une branche incapable de bouger. A-t-elle oubliée la douce et tendre caresse du vent, Lui qui rendait ses mouvements encore plus vivants. AH je t'ai pas dis il faut toujours arriver pour l'ouverture et filer direct au truc prisé. lol Non mais quand y'a pleinde monde c'est chiant ! Je m'y mets à votre jeu moi ! Au rythme des illusions ! Au loin tu as perçu les battements de mon cœur, Berçant ma propre vie dans un flot de noirceur, Laissant une profonde absence s'emparée de moi, Trouant mon âme de vide, et mes yeux d'émois. En moi, ta plume a inscrite de sublimes choses, Encore inconnues, me donnant une nouvelle cause, Cependant, ta libre main s'est trompée de page, Elle aurait du combler celle de l'amitié sage. J'ai été détruit par l'erreur, De t'avoir confié mon seul cœur, Ma vie s'est fanée au rythme des illusions, Ma mélodie s'est brisée sur tes accords en plomb. J'ai alors compris que ton amour était mince, Et que mon âme blessée s'est perdu en chemin. Mais elle a préféré retracer celle d'amour, Sans savoir si elle pourrait l'effacer un jour, Alors que tu m'étais déjà inaccessible, Et ton encre indélébile m'est devenue vile. De ta part, je voulais des gros mots d'amour, Qui auraient hanté chacune de mes nuits et jours, Mais tu as roué d'amour mon être, c'est semblable, Ta manière est unique et charmante, mais très brutale. paul personne a écrit : Mouhaha! Je l'ai retrouvé! UP, pour avoir quelques avis. Un autre, Fait vite fait : Du haut de sa grande taille imposante, Le photographe à la recherche de clichés, S’assoie sur un banc, les jambes ballantes, Pour trouver son nouveau portrait. Il était la, portant une gabardine pourpre, Son front humide de sueur. Le soleil tapant sur sa tête, il souffre, Mais passionné, n’avait que faire de cette chaleur. Il arrêta sa respiration, Une abeille vient se poser sur une fleure. Mais le temps de préparer son action, Elle s’enfui et pris peur. L’homme déçu rangea son appareil, On pouvait voir son visage crispé. Jamais il ne retrouvera une chance pareille, Et le passionné devint un homme blasé. paul personne a écrit :
Petite erreur sur le choix d'un mot. On dit "les jambes ballantes".....pas "battantes" Exemple : L'histoire du nain assis sur un trottoir, les pieds ballants A+ |
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