Drole d'époque (que reste-il de nos libertés ?) episode 2

C'est la bonne décision

Je constate qu’ici, c’est comme TF1, Canal+ et les FR, y a que la pensée unique , en dehors d’elle c’est du "nazi" et de la "propagande", il est interdit de pensé et voir autrement si non, on bloque votre compte.

Pour les deux mot que j’ai employé "crétin" et "inculte" rien de très désagréable, un avertissement verbal aura suffit.

Mais non, c’était la faille à exploité car on commencer sérieusement à débattre sur le vrai fond des choses et toucher là ou la pure logique triomphe devant votre hélas contrevérité.

Même un gosse de 5 ans sera que ça tourne pas rode chez vous et que c’est louche, tellement c’est flagrant.

c'est bien clair ça ?
c'est marqué sur chaque page avant de poster en rouge. donc je considère qu'il y a eu avertissement sans frais.
le compte etait simplement suspendu afin que nul ne puisse éditer les messages litigieux en attendant une décision de webby.
maintenant on n'est pas à l'école et les sanctions (comme sur tous les forums) ne sont pas discutables en plein fil.
donc j'ai prononcé pour la première fois depuis des années un ban.
la sanction pourra être levée par le webmaster si ça lui chante quand à moi en attendant sa décision je bannirait tout autre nouveau compte de ta part.
si pas content s'adresser au webmaster. http://www.partoch.com/membres/368.html

"un jour tu comprendra que si le socialisme est né au 19eme siècle c'est parce que tes potes du liberalisme à tout crin ont trop préssuré les ouvriers.
si tout le monde avait pu bouffer à sa faim de son travail à l'époque marx engels proudhon zola et compagnie n'auraient rien eu a faire."
Le XIXème siècle est un siècle de progrès considérables, dans beaucoup de domaines, qu'on ne retrouvera pas sous le poids des lois d'aujourd'hui.

Tu oublies de citer Rousseau, le philosophe qui a inspiré Marx et tous les socialistes. Ce personnage suisse, auteur du Contrat Social qui nous demande de renoncer à notre liberté pour un illusoire intérêt général fait des dégâts aujourd'hui encore. Un certain Voltaire n'avait pas manqué d'avertir et de le railler, mais sans doute n'était il pas assez poétique.
Entretenu toute sa vie, Rousseau défend la submersion de l'homme dans cette entité collective qu'est l'État.
Pire encore, un citoyen est pour lui celui qui renonce par "contrat" à sa liberté individuelle et à ses droits, parce que sa volonté rejoindrait celle de l'État ! Il a donc fait de la démocratie un grand danger : les politiciens utilisent les lois contre le consentement des hommes mais pour leur bien !
Dernier exemple en date : l'encadrement des loyers. Par sa régulation excessive, le gouvernement maintient une pénurie de l'offre immobilière. Il s'étonne ensuite de la valeur des loyers ! Mais qu'ont-ils dans la cervelle ?
Suite à cette conséquence évidente, ils veulent plafonner le prix des loyers. Mais mesurent ils la aussi le danger de leur régulation ? Les loyers qui ne sont pas soumis à un plafonnement vont exploser, pire encore l'offre de logement va se tarir (qui aurait intérêt à louer à un prix contre sa propre volonté ?), et bien sûr les propriétaires vont cesser d'entretenir leur bien (à quoi bon puisqu'il n'est pas loué à sa valeur ?).
Comme d'habitude, la planification de l'économie, qui restreint elle aussi les libertés, c'est génial !


On pourrait parler aussi des sujets de l'ENA qui sont tombés cette année et qui sont consternant par leur volonté d'asservissement à l'État des futurs élèves, ou encore essayer d'imaginer qui seront les premiers touchés quand l'État ne pourra plus payer ses dépenses.

Mais non, il vaut mieux parler du méchant ultra turbo néo libéralisme rampant qui fouette, lui, les chatons mignons par pack de douze.

Voltaire était autrement plus poétique que Rousseau, je trouve.
Il avait la plume bien plus lyrique, et c'est bien la seule supériorité que je lui trouve par rapport à celui qu'il a effectivement fait inviter à la cour pour une lecture, pour l'y humilier face à ses amis emperruqués.
Voltaire avait le style, Rousseau avait les idées.
Si Rousseau a été - modestement - entretenu toute sa vie, Voltaire, lui, l'a été par le roi lui-même sous un régime on ne peut plus absolu.
On comprend donc aisément leurs divergences, mais quand on parle de libertés... bon... Je ne suis pas persuadé que le mode de vie de Voltaire puisse être cité en exemple.
Bon, après, chez "les lumières", je préfère Montesquieu et Diderot.



C'est extrêmement réducteur et caricatural.
Je pense que soit c'est effectivement tout ce que tu en retiens et il faut le relire, soit tu n'es pas de bonne foi et il n'est alors pas utile d'en débattre.



Tu parles énormément de libertés individuelles, mais sais-tu qu'il en existe d'autres que celle de gagner de l'argent ?
Il en existe même qui sont antagonistes avec celle de gagner de l'argent.
Quand on parle politique en général ; quand on parle société, quand on parle Humain, tu réponds pognon.
Ca donne parfois l'impression que tu vois le Monde à travers un prisme extrêmement étriqué, et ton combat semble alors très vain.

Syle, tout d'abord, je te rejoins sur la beauté du style de Voltaire, une référence absolue pour moi avec Blaise Pascal.

Rousseau avec ses Rêveries - entre autres - est dans un registre quand même différent de Voltaire. Mais comme tu le soulignes bien, ma spécialité c'est les maths, pas le français, donc nul doute que ma vision de Rousseau est réductrice. Je voulais ici simplement souligner l'influence singulièrement néfaste de ses écrits - pour moi.

Il est vrai que je parle pognon. Ce n'est pas par attrait personnel, je laisse cela aux étatistes qui spolient tant qu'il faut croire que cette jalousie du fric est maladive chez eux.

Parfois on dit que le pognon est la source de tous les maux, et peut être est-ce ton avis ?
La question qu'il faut se poser est quelle est la source du pognon ? Le travail, et par là l'art et la raison humaine. Si la source du pognon est autre que cela, alors c'est que les droits naturels ne sont pas respectés.

Non ma vision de la politique ne se réduit pas au pognon.

La politique c'est en particulier la création de la loi, et la loi doit justement permettre autre chose que des rapports financiers, comme c'est le cas aujourd'hui.

On tient de Dieu, ou de l'évolution, selon ses croyances, le don de la vie. L'homme se définit par son existence, ses facultés et son assimilation.
Autrement dit, l'homme c'est respectivement : une personnalité, de la liberté, et la propriété. Voilà d'où découle l'existence de la Loi pour moi.
La loi est l'organisation collective du droit individuel de légitime défense, pour paraphraser Bastiat. Partant de cette définition, qui est chaque jour violée par le gouvernement (qu'il soit de droite, de gauche, c'est indifférent car ils sont étatistes), chacun à le droit de défendre ces droits là, qui sont les droits naturels. Quand elle défend cela, la loi est légitime. Ailleurs elle est détournée et source de tous les maux.

Ma définition (qui n'est ni originale ni personnelle), permet donc toutes les libertés, tant que les libertés ne nuisent pas à la liberté d'autrui.

Il n'est donc nullement question de pognon ici. La spoliation est rendue possible par le détournement de la loi, est servie par la force, car l'État a le monopole des moyens de coercictions. Je ne conteste pas ce monopole là ; je souhaite seulement qu'il ne soit pas détourné.

Comme tu peux le voir, ma vision de la politique ne se restreint pas au pognon, car ma vision permet infiniment plus de libertés qu'il est possible aujourd'hui.

En réalité, ce sont les étatistes (de droite, de gauche), qui ne pensent qu'au pognon.
N'est ce pas eux qui passent leur temps à spolier, à tel point qu'il semblerait que leur programme ne soit fait que de ça ?

Voltaire était aussi un âne brillant! ne pas avoir compris le problème de l'influence française au nouveau monde , traité de quatre arpents de neige, son antisémitisme, et j'en passe! un âne brillant.

en ouvrages de reference politique j'ai tendance à preferer "le prince " et "la republique" de nicholas machiavel.
dont les ânes qui n'ont rien compris à ses écrits ont crus qu'il s'agissait de conseils alors qu'il faisait un etat des lieux de ce qui etait fait et faisable. et dont l'adjectif qu'on a tiré de son nom à en outre amené une très mauvaise image.
sinon j'avoue franchement que les suscités voltaire rousseau ou pascal me barbent prodigieusement.
je serait plutot un proustien contemplatif et analyseur sans jamais tirer trop de conclusions sur l'absolu.

@ Denis :
En effet, Machiavel en donnant des conseils au Prince, décrit formidablement le pouvoir à l'oeuvre... Il s'agit d'une oeuvre très puissante.

Pascal, lui, est un moralisateur chrétien. Son écriture est limpide et surtout concise. Il replace l'homme à sa place à savoir un être minuscule entre les deux infinis (grands et petits), ici pour une courte fenêtre temporelle.Il décrit admirablement la loi, la force, et la justice. Je trouve de l'humour à travers certaines de ses Pensées :
"Plaisante justice qu'une rivière borne..."
Ou encore :
La puissance des mouches : elles gagnent des batailles, empêchent notre âme d’agir...

Petit aparté concernant les opinions du banni ci dessous : on peut trouver sur l'un des sites du national socialiste qu'il nous a présenté une glorification de la politique économique menée par Hitler entre 33 et 40. Pour ne pas faire de pub je ne mettrai bien sûr pas de lien, mais force est de constater le lien étroit entre cette politique économique et la politique prônée par des partis extrémistes des deux bords d'aujourd'hui.
Il faut dire que cette politique conduit incontestablement à des résultats à court et même moyen terme. Les plans de relances permettent d'éradiquer (temporairement bien sûr) le chômage et une grande partie de la grogne.
Sauf que quand l'endettement publique et privé (car les entreprises elles aussi s'endettent) devient asphyxiant, deux sorties de crise s'offre alors : le défaut de paiement (comme c'est le cas pour les pays socialistes de l'Amérique latine qui se sont faits bernés par les bonnes recettes de leur gouvernement), ou... la guerre ! Économiquement pour rester au pouvoir Hitler n'avait guère de choix.

Ca faisait longtemps : http://www.01net.com/editorial/626844/loi-antiterroriste-le-prism-a-la-francaise...

Loi antiterroriste : le PRISM à la française en débat à l’Assemblée Nationale

Les députés examinent le projet de loi antiterroriste. Au programme : blocage des sites, responsabilité des FAI et des hébergeurs, perquisition sur le Cloud, écoutes sur Skype.




Allez, hop. Encore une loi qui va obliger les sites internet à fliquer les contenus des internautes pour le signaler aux autorités.
Et si on loupe un truc (parce qu'il est tout simplement impossible de lire tous les contenus d'un réseau social), zou : sanction.

et en plus on ne peut même pas les faire sauter!

Non, c'est nous qui allons nous faire sauter !...
J'ai prévu un slip en tôle galva (pour pas que ça rouille !)...

Ne demandez pas ce que l’État peut faire pour vous. Demandez ce que les hommes de l’État sont en train de vous faire.

quelqu'un peut m'expliquer ce que le terme "les populations les plus eloignées de l'emploi" veut dire??? en rapport avec la tirade du MEDEF sur le SMIC, parce que là, moi je vois pas