J-C
"La musique n'a pas de frontières : on la ressent plus qu'on ne la comprend."… 1 membre aime ça Pas mal...histoire vraie, sur les sauveurs ( gentils américains ) de chef d'œuvres artistiques accaparés par les méchants teutons de l'époque. Et pour rire...dans tous les "gros" films américains, les français s'appellent toujours "Jean-quelque chose"...ici, c'est "Jean-Claude" pour notre petit Dujardin 1 membre aime ça Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien.......
Play to be free Wola je suis pareil, je ne vais au cinéma que pour les film d'horreur et quelque Marvel. Ceci dit je n'aime pas les paranormal activity. j'en vue un au cinéma je me suis ennuyer, regarder une camera me passionne pas moi faut du genre Conjuring/Annabelle. Annabelle je l'ai bien aimer. Enfin chacun ses gouts comme on dit. les miens sont particulier on me le dit souvent Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien.......
Play to be free recherche toujours une Cort Earth 900, bon état, prix raisonnable, si vous en croisez une, MP moi!!! Un film qui s'inscrit dans la lignée des Hunger Games et Divergent mais qui est vraiment sympa ! Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien.......
Play to be free recherche toujours une Cort Earth 900, bon état, prix raisonnable, si vous en croisez une, MP moi!!! pas le meilleur Burton, mais j'avais bien aimé quand même. j'ai vu EQUALIZER au ciné, ben dans le genre 'film à macho musclé', je l'ai trouvé génial, un modèle du genre, j'ai adoré Je ne le recommanderais pas à mon pire ennemi. Et j'annonce que ça va tourner à la fois au spoil et au billet d'humeur. Premier souci : je ne me suis pas poilé une seule fois, même timidement, alors que je suis pourtant trèèèès bon public niveau comédies. Second souci : ce film m'a laissé sur un sentiment de profond malaise. Vraiment pas loin de la nausée, en fait. Car sous prétexte de tourner le racisme en dérision en renvoyant toutes origines dos à dos, le film véhicule et banalise en fait un racisme ordinaire tout à fait dégueulasse. Si les personnages semblent échapper au premier abord aux stéréotypes, tout finit par voler en éclat. En effet, le juif n'est certes pas riche. Non, mais on finit par s'apercevoir qu'il est néanmoins cupide. Le maghrébin est avocat, oui, mais pas avocat d'affaire, hein ! Non non, il défend des reubeus dealers - qu'il tutoie - au tribunal de Bobigny. Et le chinois fait du kung fu, évidemment. Enfin bref, ces gendres qui finissent par devenir acceptables (puisqu'ils chantent la marseillaise la main sur le coeur, ne pratiquent pas leurs religions respectives et entonnent des cantiques à la messe de minuit) sont censés se démarquer du gros de leurs congénères. L'immigration choisie, quoi. Là, ça devient franchement gênant. Enfin, bon, c'est dans l'air du temps, mais cet air-là schlingue un peu. On a droit à des tonnes de scènes qui se ressemblent à un point inimaginable (notamment des scènes de repas) : c'est long, mais c'est long... Le personnage principal ? Un Christian Clavier raciste hystérique. Oui, mais attention, on est censé le trouver sympathique. Certes, il a des traits de caractère outranciers le brave homme, mais nous sommes tous un peu comme ça ; nous sommes tous un peu racistes et c'est plus drôle que méchant, semble suggérer le film. Surprenant. Une banalisation d'un goût extrêmement douteux. Et personnellement, je me suis senti profondément insulté par ces multiples "clins d'oeil complices" adressés tout au long du film. Le comble arrivera à la fin du film quand le personnage campé par Clavier va se réconcilier avec le père de son gendre, africain et tout aussi raciste que lui. Finalement, un penchant pour le gaulisme (si si !), la pêche, le catholicisme et la misogynie les rapprochera, au cours d'une cuite mémorable (heureusement qu'il n'était pas musulman, le type, sinon c'était mort. Faut pas déconner non plus). Au détour de ces brèves de comptoir, on apprendra que bon, si c'est la panade en Afrique, ça vient des africains, et la colonisation, c'était pas bien grave. Au contraire, se battre pour la France, c'était même très cool. Au bout d'un moment, je continuais à regarder pour voir jusqu'où ça irait. Mais j'ai vraiment failli vomir mon dîner. Le pire, c'est que tout dans ce film respire la bonne foi. Je pense que l'idée de départ était bel et bien de livrer un message de tolérance. Hélas, ce n'est manifestement pas un exercice naturel pour tout le monde, et au final, le message est immonde. EDIT : après de courtes recherches, je constate que mon sentiment sur ce film est assez largement partagé par la critique, et je suis tombé sur cet article qui développe parfaitement la question : http://www.lecinemaestpolitique.fr/quest-ce-quon-a-fait-au-bon-dieu-2014-le-raci... The Duck & The Stray Rats forever !
T'es un cowboy ? http://om.the-west.fr/west/fr/player/?ref=westplayer_invite_banner&player_id=287... Je ne dois pas/plus avoir le même humour que mes concitoyens.. Webby
par curiosité j'ai demandé à mon fils et sa copine (28/26ans) voilà le résultat :
Oui on l'a vu on s'est marrés devant c'etait trop bien Question de génération peut être… J-C
"La musique n'a pas de frontières : on la ressent plus qu'on ne la comprend."… |
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