Drole d'époque (que reste-il de nos libertés ?)

Le pays s’accroche à son faible impôt sur les sociétés
Eric Albert Dublin

Malgré la pression européenne, Dublin refuse d’augmenter son impôt sur les sociétés situé à 12,5%

Pour Dublin, c’est la ligne rouge à ne pas franchir. Le casus belli. Alors que le FMI et l’Union européenne ont passé le week-end à préparer un plan de secours, l’Irlande se dit prête à faire preuve de beaucoup d’efforts: elle envisage de réduire les salaires des fonctionnaires, de baisser le salaire minimum ou de limiter les allocations sociales . Mais elle refuse catégoriquement de toucher au niveau de l’impôt sur les sociétés . A 12,5%, il est parmi les plus bas d’Europe. «Ce n’est pas négociable », affirme Mary Coughlan, vice-premier ministre.

Euh ... en gros ils sont prêts à sacrifier tous les salariés, ne plus filer d'aide et tout et tout, mais pas à taxer ceux qui ont de l'argent ???

le diagramme date de 4 ans Alex et j'imagine que les choses ont du bien changé depuis, je suis etonnée quand mme de la dette des menages allemand, j'ai toujours pensé que c'etait un pays fort

Non. Car étant honnête dès que j'ai reçu l'argent je lui ai immédiatement donné le compte. Il a donc de suite changé le mot de passe et l'adresse mail, m'empêchant de le reprendre (normal puisque je lui avais vendu).

Et ensuite il m'a annoncé qu'il allait poser un litige auprès de Paypal pour retrouver son argent ... Le pourrir ? non, je n'en ai ni la force ni une réelle envie ..Me battre contre quelqu'un comme ça n'a ni queue ni tête, je n'y gagnerai rien et ça serait lui faire une trop grande joie que de lui faire le plaisir de voir que cela me ruine, et me blesse que de m'être fait avoir de la sorte. (en plus ce compte avait une valeur sentimentale car je l'avais monté avec ma chère et tendre durant 4ans, et je cherchais un repreneur sérieux, j'ai tout gagné quoi ..)

Après l'Irlande, le Portugal de nouveau en première ligne

Après la Grèce et l'Irlande, le Portugal, désormais en première ligne des marchés, pourrait être contraint lui aussi de solliciter une aide extérieure, estiment les analystes, même si les autorités veulent encore convaincre que les situations sont «très différentes»
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Lundi, les taux de rendement de la dette portugaise continuaient à la hausse à 6,527%, contre 6,508% vendredi soir.

«Si cette pression ne se relâche pas, le Portugal sera contraint de demander une aide d'urgence», prévoit l'économiste Tullia Bucco d'Unicrédit.

«Le Portugal peut considérer qu'il est insensé de payer des taux de 6 à 7%, ou plus, alors qu'il peut demander une aide extérieure» à des taux plus faibles, estime également Filipe Silva, stratégiste obligataire de la banque Carregosa.
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Plombé par une croissance atone depuis de nombreuses années, le Portugal accuse une dette publique de 161 milliards d'euros, soit plus de 82% du PIB, qu'il s'est montré jusqu'ici incapable de réduire
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Dans ce contexte, le Parlement portugais s'apprête à voter définitivement vendredi un budget d'une austérité sans précédent, cumulant baisse des salaires et hausse d'impôts pour ramener le déficit de 7,3% du PIB à 4,6%

Le courrier ne menace pas explicitement les autorités irlandaises, mais il est lourd de sous-entendus. Dans une lettre aux autorités irlandaises que s'est procuré le Daily Telegraph, Microsoft, Hewlett-Packard et Intel, mais aussi Bank of America et Merrill Lynch, évoquent "l'impact négatif" qu'aurait une hausse de la fiscalité sur les entreprises sur la capacité du pays à "attirer et à conserver" des investissements . Le courrier fait également allusion à d'autres pays, comme Singapour, jugés par ces entreprises comme plus compétitifs. Une menace de délocalisation à peine voilée .

Plus des deux tiers des Français pensent que "le gros de la crise reste encore à venir", et 61% d'entre eux estiment que le G20, dont la France vient de prendre la présidence, n'est pas en mesure d'améliorer la situation de l'économie mondiale, selon un sondage Ipsos publié lundi.

Signe de leur pessimisme, 70% des personnes interrogées estiment que "le gros de la crise reste encore à venir", 27% seulement affirmant que le pire est "derrière nous" , peut-on lire dans ce sondage réalisé pour le ministère de l'Economie à l'occasion de la 12e Journée du livre d'économie, qui sera organisée jeudi à Bercy.

De la même manière, 59% des sondés s'attendent à une augmentation ultérieure des délocalisations industrielles - même si 52% prévoient le retour probable ou certain des entreprises concernées en France "à moyen terme".

Parce qu'ils ne peuvent pas, c'est un fondement de la création européenne.
D'autres part, même s'ils le pouvaient, ça voudrait dire que la BCE sortirait la planche à billets à 0%, donc tous les états emprunteraient immédiatement pour sortir la tête de l'eau. On aurait alors une inflation rapide et une perte de de la valeur de l'€.
Enfin, et surtout, ça serait priver le secteur bancaire d'une mane énorme de pognon. Et comme tu l'auras j'espère compris, ce ne sont plus les états qui gouvernent dans un monde ultra libéral, c'est celui qui a l'argent : aujourd'hui ce ne sont plus les états qui ont l'argent....
On aurait du réformer le système bancaire immédiatement après la crise, quand les banques étaient à la limite de la faillite, elles n'avaient plus beaucoup de pouvoir, maintenant c'est trop tard, elles ont reprit du poil de la bête, elles nous imposent leurs lois.