Venez poussez la chansonnette !!!!!

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FILTRES DE LA RECHERCHE

J'adore lui faire peur, la faire hurler de terreur
Détendre un élastique devant ses yeux hystériques
Dans sa chambre bien rangée j'ai tout dégueulassé
Dessiné des lunettes sur ses posters de vedettes

J'adore faire chier ma soeur

Sur son journal intime j'ai écrit des jolies rimes
Etalé des crottes de nez sur les photos de son fiancé
Tartiné de Nutella son CD de Starmania
Ca me rend plus heureux que ma console de jeu

J'adore faire chier ma soeur



Frappé par le sida mental
On m' a j' té dans cet hôpital
On m' bourre la gueule de comprimés
Ca m' fait dormir toute la journée

Remarquez dans cet hôpital
Y' a pas grand chose à reluquer
Il y a qu' des gens qui sont mal
Des infirmiers pour surveiller
Y' a aussi quelques ustensils
Qui nous aident à rester tranquilles
Dans ce domaine la médecine
A fait des progrès pas possible

J' ai des potes qui sont pas banal
Ils ont un camion dans la tête
On leur donne un traitement spécial
Et tous les jours c' est leur fête
C' est à grand coup d' électrochoc
Qu' on leur apprends à se tenir
Moi je crois que si ils débloquent
C' est à cause de leur thérapie

Vivement mardi gras qu'on puisse enfin se deguiser
comme l'année passée on va avoir un tas d'idées
Des marquises des fées, des cowboys, des plombiers
Des douzaines d'infirmières et 53 sapeurs pompiers
Des plus mal observés à ceux qui auraient pu mieux faire
on prépare la soirée dans une ambiance du tonnerre

Y a toujours un malin pour se déguiser en mouche
en cuvette de WC ou en escargot qui louche
Ceux là faut qu'ils expliquent car c'est pas tres evident
aux amis étonnés l'idée de leur déguisement
Au cours de la soirée on tombe souvent nez à nez
avec un faux Coluche qui essaye de vous faire marrer
Y a toujours un public pour ce genre de rigolo
qui s'étrangle de rire en s'empiffrant de petits gateaux

Dans un petit canapé un groupe de gens pas déguisés
prétend avec fierté qu'il n'aime pas ces festivités
N'empeche qu'ils sont partout faisant chaque fois acte de présence
C'est les mieux déguisés dans leur tenue de suffisance
On apporte le dessert faut eteindre toutes les lumieres
Car en plus aujourd'hui on celebre un anniversaire
En soufflant les bougies on fait voler le sucre glace
Qu'un genre d'Henry Guibet va recevoir en pleine face

Quand la fete est finie il reste toujours quelques amis
pleins de bonne volonté pour vous aider à nettoyer
Il faut se depecher car demain on va au boulot
Samedi tout le monde revient pour la super soirée diapo
Vivement mardi gras qu'on puisse enfin se deguiser
comme l'année passée on va avoir un tas d'idées
Des marquises des fées, des cowboys, des plombiers
Des douzaines d'infirmières et 53 sapeurs pompiers
Des plus mal observés à ceux qui auraient pu mieux faire
on prépare la soirée dans une ambiance du tonnerre

peranar

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Il pleut sur Nantes
Donne-moi la main
Le ciel de Nantes
Rend mon cœur chagrin

Un matin comme celui-là
Il y a juste un an déjà
La ville avait ce teint blafard
Lorsque je sortis de la gare
Nantes m'était encore inconnue
Je n'y étais jamais venue
Il avait fallu ce message
Pour que je fasse le voyage:

"Madame soyez au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Faites vite, il y a peu d'espoir
Il a demandé à vous voir."

A l'heure de sa dernière heure
Après bien des années d'errance
Il me revenait en plein cœur
Son cri déchirait le silence
Depuis qu'il s'en était allé
Longtemps je l'avais espéré
Ce vagabond, ce disparu
Voilà qu'il m'était revenu

Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Je m'en souviens du rendez-vous
Et j'ai gravé dans ma mémoire
Cette chambre au fond d'un couloir

Assis près d'une cheminée
J'ai vu quatre hommes se lever
La lumière était froide et blanche
Ils portaient l'habit du dimanche
Je n'ai pas posé de questions
A ces étranges compagnons
J'ai rien dit, mais à leurs regards
J'ai compris qu'il était trop tard

Pourtant j'étais au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Mais il ne m'a jamais revue
Il avait déjà disparu

Voilà, tu la connais l'histoire
Il était revenu un soir
Et ce fut son dernier voyage
Et ce fut son dernier rivage
Il voulait avant de mourir
Se réchauffer à mon sourire
Mais il mourut à la nuit même
Sans un adieu, sans un "je t'aime"

Au chemin qui longe la mer
Couché dans le jardin des pierres
Je veux que tranquille il repose
Je l'ai couché dessous les roses
Mon père, mon père

Il pleut sur Nantes
Et je me souviens
Le ciel de Nantes
Rend mon cœur chagrin

Docteur ? Parait ke vous êtes docteur ?
Parce que malade parait que chui malade
J'ai le coeur qui a mal au coeur
Et vice et versaille
Regarde on dirait une hélice d'hélico
Et j'ai tout mes pieds qui touchent plus terre.
Oh la la ya du boulot !
Comment s'appelle votre infirmière ?

J'ai trouvé le prénom de mon fils
J'ai trouvé le prénom de ma fille
Mais je rame je rame je rame pour trouver le prénom de ma femme !

Ca va pas etre facile...
Dire que de Paris jusqu'a Paname,
J'ai cherché partout wélou !
Personne n'a le prénom de me femme docteur,
J'y comprends rien du tout !
Si vous n'avez pas de question,
C'est à moi qu'il faut les poser.
Et si vous voulez mon opinion,
Ca jpe aller vous la chercher !

J'ai trouvé le prénom de mon fils,
J'ai trouver le prénom de ma fille,
Mais je rame je rame je rame pour trouver le prénom de ma femme !

J'ai même mené mon enquête,
Ni vu ni incognito,
A propos d'une certaine Juliette
Parait qu'elle a un balcon,
De quoi lui faire des fredonnettes
Mais le problème c'est qu'y a un problème !
Ca c'est logique mais lequel ?
Docteur, elle habite au 15ème !

J'ai trouvé le prénom de mon fils,
J'ai trouvé le prénom de ma fille,
Mais je rame je rame je rame pour trouver le prénom de ma femme !

J'ai bien rencontré quelqu'un de bien,
Docteur vous savez quoi docteur,
J'ai failli lui demander sa main !
Elle était belle comme une âme soeur !
Elle avait trouvé le prénom de son fils,
Elle avait trouvé le prénom de sa fille,
Et bah ce coup-ci, c'est quoi le problème ?
Docteur ... ! C'était pas les mêmes !!

J'ai trouvé le prénom de mon fils,
J'ai trouvé le prénom de ma fille,
Mais je rame je rame je rame pour trouver le prénom de ma femme !

pau23

Sous Dieu du Forum
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C’était un jour de beau temps, dieu était de bonne humeur,
Il avait créé la nue, quelle grossière erreur,
Voyant ce fruit fragile à la merci des chacals,
Il eut une idée lumineuse…………………Le poil.

Au depart sur la terre c'était Bysance
Tout le monde m'a brossé dans le bon sens
L' argent entrait dans la touffe
J'ai donc cote mes poil en bourse.

Pi j'ai connu Marie-Chantal
Elle avait la bouche en cul d'poi
On s'est quité un poil de l'épouse
Le jour où elle a voulu m'De-co-lo-rer

Toutes ces bourgeoises qui s'éplilent
Ca m'rase, ca m'barbe, ca m'horripile
Je suis l'ennemi public
Celui qu'on torture au rasoir bic. [...]

babouchelesinge

God of Partoch
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pau23
pau23 a écrit :
C’était un jour de beau temps, dieu était de bonne humeur,
Il avait créé la nue, quelle grossière erreur,
Voyant ce fruit fragile à la merci des chacals,
Il eut une idée lumineuse…………………Le poil.

Au depart sur la terre c'était Bysance
Tout le monde m'a brossé dans le bon sens
L' argent entrait dans la touffe
J'ai donc cote mes poil en bourse.

Pi j'ai connu Marie-Chantal
Elle avait la bouche en cul d'poi
On s'est quité un poil de l'épouse
Le jour où elle a voulu m'De-co-lo-rer

Toutes ces bourgeoises qui s'éplilent
Ca m'rase, ca m'barbe, ca m'horripile
Je suis l'ennemi public
Celui qu'on torture au rasoir bic. [...]

Un jour j’suis passé d’mode, quel supplice
J’ai eu des démélés d’justice
J’rasais les murs j’étais clandestin
Traqué dans les moindres recoins

Coin-coin !



bravo

peranar

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babouchelesinge
babouchelesinge a écrit :

pau23
pau23 a écrit :
C’était un jour de beau temps, dieu était de bonne humeur,
Il avait créé la nue, quelle grossière erreur,
Voyant ce fruit fragile à la merci des chacals,
Il eut une idée lumineuse…………………Le poil.

Au depart sur la terre c'était Bysance
Tout le monde m'a brossé dans le bon sens
L' argent entrait dans la touffe
J'ai donc cote mes poil en bourse.

Pi j'ai connu Marie-Chantal
Elle avait la bouche en cul d'poi
On s'est quité un poil de l'épouse
Le jour où elle a voulu m'De-co-lo-rer

Toutes ces bourgeoises qui s'éplilent
Ca m'rase, ca m'barbe, ca m'horripile
Je suis l'ennemi public
Celui qu'on torture au rasoir bic. [...]

Un jour j’suis passé d’mode, quel supplice
J’ai eu des démélés d’justice
J’rasais les murs j’étais clandestin
Traqué dans les moindres recoins

Coin-coin !



bravo

Salut ca me rapelle un truc des "Rabbins volant" :
Salut ! c'est moi Coincoin le gentil petit canard !
Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin Coin

l''elfe

God of Partoch
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8772 messages
moi je connaissai turluron lapin, mai ça s'écrit pas ça se chante, parce qu'il fau mettre un accent entre le marseillais et le belge et c difficil à retranscrir!

Elle voulait revoir sa Normandie
Elle voulait revoir sa Normandie
Son regard noyé sur la carte de France
On devinait chez elle une certaine souffrance
Pleine de mélancolie et le mal du pays
Elle voulait revoir...
Elle voulait revoir, revoir sa Normandie

A Montléry, d'une vache déracinée
Et d'un prisonnier de guerre abandonné
Un militaire au look psychadélique
Elle voulait revoir...
Elle voulait revoir, revoir sa Normandie

Puis les yeux brouillés au LSD
La normande nous broyait du lait caillé
Et sa pauv' tête bourrée d'anti-dépressifs
Elle voulait revoir...
Elle voulait revoir, revoir sa Normandie

Elle voulait revoir sa Normandie
Elle voulait revoir sa Normandie
Et par un beau matin printanier
Ses voisins l'ont dénoncée aux poulets yé yé yé
Qui séquestrait dans son studio
Au doux museau, une vache à lait
Et c'est pas tout, brigadier
Un phoque dans son aquarium
Et un dindon dans son armoire
Une tortue dans son jardin
Un hérisson dans sa tortue
Un caniche dans son frigo
Et un poil dans la main, le salaud

Elle voulait revoir sa Normandie...
Elle voulait revoir sa Normandie...
Elle voulait revoir sa Normandie...
...
smiley-guitar smiley-guitar

(...)

...I should stop pointing fingers,
Reserve my judgment
About those public action figures,
The cowboy president
So loud behind the builhorn,
So proud they can't admit
When they made a mistake...

While poison ink spews
From a speechwriter's pen
He knows he don't have to say it,
So it just don't bother him.
'Honesty' 'Accuracy' are just 'Popular opinion'.
And the approval rating's high
And so someone's gonna die...

ABC, NBC, CBS: Bullshit
They give us facts or fiction?
I guess an even split.
And each new act of the war
Is tonight's entertainment.
We're still the pawns in their game.

As they take eye for an eye
Until no one can see
We must stumble blindly forward
Repeating history
Well, we all fit into our slogan
On that fast-food marquee:
Red-blooded, White-skinned,
Oh, and the Blues... oh and the blues
I've got the blues... That's me!!

(...)

Ton ventre crie farine, tu es morte de pain
Tu manges des tartines dans ta salle de pain
La mie porte conseil il faut casser la croute
A la prochaine bretzel on quitte l'autoroute

A force de beurrer des tartines tcha tcha tcha
Tu vas t'attirer de gros sandwich, gros sandwich

Dans ton appartement de 20 miettes carrés
Tu répares des grille pain et ta vie est toaster
Tu ranges des croissants dans l'ordre décroissant
C'est là ton dur labeur de céréal killer

A force de beurrer des tartines tcha tcha tcha
Tu vas t'attirer de gros sandwich, gros sandwich

Le soir pour oublier tu sors en biscotheque
Tu passes la soirée pres du biscuit jockey
Quand il a mis Bruel tu t'es mise à griller
Tu t'es cassée l'avoine et t'as perdu du blé

A force de beurrer des tartines tcha tcha tcha
Tu vas t'attirer de gros sandwich, gros sandwich

Il se voyait an grand truand légendaire forçant le respect à tous ces branques de première,
il soignait l'accroche comme son revolver, "veston trois boutons deux poches" et gominé capillaire...
il se voyait tel, tel, tel Capone, en contemporain, pas un tel untel mais tel qu'était Capone...
Aux maintes hommes "de main" à sa pogne...
Il s'inventait un pedigree des moins clairs... Lui qui s'était juste fait toper à tirer en "loosdé" à Leclerc.

Il se voyait comme le roi des gangsters, comme un clone d'Al Capone, homme et truand légendaire
mais il n'était en somme qu'un branque de "première", comme un clone d'Al Capone, à trois francs trente... et c'est cher!
Oh! Il se voyait comme... ces cadors, sourds à toutes les prières, sans remords, sans recours... au sang froid,
hors-la-loi mais en pleine lumière et suicidaire était de nier sa gloire...
Quand, dans les claques, il mattait la taulière.. dans la voix des macs c'est en clair:
toi la ménopausée zèle tes donzelles au boulot sinon c'est moi qui te ferais pisser le sang à nouveau!...
Il se voyait fier, parrain des gangsters... Quel camouflet! Ce n'était que le parrain des mouflets de son beau-frère...!

Il se voyait en tueur fou sanguinaire, qui coûte que coûte n'fait jamais machine arrière ..
Il saignait partout les parties de poker, ceux qui posaient plus de deux paires.. Il les expédiait chez Dieu le père ...
Il se voyait tel, tel, tel Capone en contemporain pas tel untel mais tel qu'était Capone...
Dans le règne des flingues qui résonnent... Il rackettait même les plus hauts fonctionnaires,
il les faisait tellement chanter, qu'ils croonaient... Et battaient Fred Astaire

Il se voyait comme le roi des gangsters, comme un clone d'Al Capone, homme et truand légendaire
mais il n'était en somme qu'un branque de première, comme un roi sans couronne si ce n'est en implant dentaire...
Oh! Lui n'était qu'homme... mythomane dans un mitan de verre, pyromane.. jouant la flambe.. et sévère!..
quant aux femmes sans passer au travers, elles étaient loin d'être nymphomanes envers ce cave et pervers,
lui se voyait mâle.. et levant des compagnes, qu'il arrosait de diamants et de champagne,
il se voyait fier.. comme en affaires, parrain des gangsters..
Quel camouflet! Ce n'était que le parrain des mouflets de son beau-frère...!

Il trouva lourd le pour se dit je vais l'faire! Mais en ce jour, il a mordu la poussière,
à son premier coup face à la caissière, lui laissa une, deux, trois secondes... Elle a tiré la première!...
Il s'écroula, dans son sang, sur le parterre, sans avoir le temps de faire parler son revolver,
à jouer les cadors, ça mène au cimetière, ci git..repose et dort feu le roi des gangsters.

pau23

Sous Dieu du Forum
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De alto cedro voy para Marcané
Luego a cuelto voy para mayari

el cariño que te tengo
Yo no lo puedo negar
Se me sale la babita
yo no lo puedo evitar

cuando juanica y chan chan
en el mar cernian arena
como sacudia el 'jibe'
a chan chan le daba pena

Limpia el camino de paja
que yo me quiero sentar
En aquel tronco que veo
y asi no puedo llegar

De alto cedro voy para Marcané
Luego a cuelto voy para mayari

love love love

A cold and wet November dawn
And there are no barking sparrows
Just emptiness to dwell upon.
I fell into a winter slide
and ended up the kind of kid who goes down
Chutes too narrow
Just eking out my measly pies

But learned fast how to
Keep my head up 'cause I
Know I've got this side of me that
Wants to grab the yoke from the pilot and just
Fly the whole mess into the sea...

Another slow train to the coast
Some brand new gory art from way on high
I sink and then I swim all night
I watch the ice melt on the glass
While the eloquent young pilgrims pass
And leave behind their trail
Imploring us not to fail

Of course I was raised to gather courage from those
lofty tales so tried and true
And, if you're able, I'd suggest it 'cause this
Modern thought can get the best of you...

This rather simple epitath
Can save your hide your falling mind
Fate isn't what we're up against
There"s no design, no flaws to find.

love love love




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