ça me fait pas pleurer mais ça m'émeut :
- les gymnopédies d'Erik Satie,
- une des chansons de Bjork dans dancer in the dark (je ne sais plus le titre, c'est à la fin : où elle va à l'échafaud en comptant les marches et c'est ça qui donne le rythme à la chanson)
- mistral gagnant de Renaud (le côté innocence perdue de l'enfance
)
- song of the sybill de dead can dance (ou indus)
- quand je serai ko de Souchon (ou ultramoderne solitude)
On fait une commande groupée de kleenex ?