ton requiem ,
tu avais pour habitude
de trimballer ton sac à dos de solitude
tes retrouvaille de solitaire dans tes voyage
lors de tes périples dans les rue d'Amsterdam
les voyages et la découverte du monde était ton seul refuge
ton ami le passeports te donnait la centrifuge
ou baroudeurs que tu étais
quand certaines montagnes t'acueillais à bras ouvert
tu ti sentais apaisé
mais jamais dépaysé
quand sur ton chemin tu croisait berger de bonne gens
en écoutant chanté le vent
de ton bardas de survie et de duvet froid
à mes yeux tu étais le fils divin incarné de l'homme sage
dessinant la marches à pieds les périples de ton existence
bravant comme un robinson les climats de circonstance
ton sac à dos et ton passeport était tes meilleurs alliés
parfois dans des foret d'allemagne enneigé
quand sur portable tu m'envoyais de belles images
de nature que tu respectais au delà des ages
depuis ton funeste départ
chaque jour je lutte pour ne pas sombrer tel un naufrage
supporter ta cruelle absence
et tes reflets de sourires devenue souffrance
sans toi la vie rime avec souffrir
et mon bonheur maintenant se conjugue avec soupir
ma bonne humeur est tombé malade
et devant autrui je ne suis plus qu'une ombre lamentable
nous souffrons de ton absence
parfois nous pleurons pour briser ton silence
et quelque fois entrelacés nous hurlons notre désespoir
croyant un instant faire renaitre ton histoire
mais au bout du compte c'est sans espoir
la faucheuse insolente ta prise par la main
t'emportant loin de nous et de notre rivage
maintenant je contemple l'horizon dans la rosé du matin
quand parfois j'aperçois tes traits , qui s'évanouisse derrière un nuage
certains soirs de nuit fond échos à tes éclats de rires
quand mes pensées fantome se pose sur tes yeux
mais l'instant de la réalité reprend vite ses droit dans le pire
écrasant le souvenir de ta joie de vivre radieuse
ton sacs à dos et devenue un objets précieux
quand parfois ta mère dort avec dans le lit conjugal
croyant faire renaitre de jours heureux
mais n'est qu'une illusion de façade
je te le dit , se n'est qu'un simple au revoir car quand notre heure sonnera
le grand départ de notre tour , nous serons heureux de faire le dernier voyage
ainsi te retrouver et sécher nos pleure
pour enfin inonder d'embrassades ton visage
en attendant aujourdhui ne pouvant te chérir cas travers des photos
je m'efforce à croire que je t'envois au delà des cieux
ton requiem