Voici une série d'extraits issus de mon livre ou de mon inspiration du soir (ici que des essais ou des poèmes non issus de mon livre, écrits sous l'emprise des épices, comme l'ami Beaudelaire) :
La transgression de l'âme :
Astral, la religion aspire à la faiblesse, nous, nous aspirons à la noblesse et à la grandeur d'esprit de l'être. Les ignorants sont la peste à nos yeux, nous ne vénérons pas cet être, car c'est un être comme un autre. Dans les tranchées, ces hommes morts au combat baignent dans une terre rouge âpre. Ces hommes qui étaient des milliers, ces hommes qui ont chutés au nom de la vie, de l'amour, du plaisir, des tracas, de la vie, de la vie, cette vie qui avance au fur et à mesure, cette vie qui s'écoule comme un sablier antique, cette vie qui finira par s'éteindre un beau matin, cette vie qui sera prise, qui sera emmenée, mais nous nous retrouverons, sous quelle forme qu'elle soit, nous communiquerons, nous nous amuserons, nous nous aimerons. L'entourage a son importance, armez-vous de bons collègues sympathiques de nature puis, forcément, trouvez une personne différente, qui vous intrigue, cette personne pourra être votre meilleur ami, il y a toujours un gagnant à une course, tout comme l'entourage. L'amour, l'amour, ils y pensent tous, les jeunes femmes sont belles et fertiles tout comme un plant d'herbe, ces femmes que nous désirons en secret ou publiquement, celles qui ont un visage fin, rond, dégagé, amusant, ou celles qui portent parfois des bas, mettant en valeur la partie inférieure de leurs corps. Pourquoi tout ca? Pour rien, pourquoi la religion? Pour rien. Pourquoi? Oui. Vas-t-en donc sur les collines vertes et respire l'air, l'air, comme l'ère, notre ère, nous sommes le front, l'élite, la patrie en kit (pour 4 balles), le temps est venu de changer le monde. Nous, le changer? Nous l'épuiserons, et nous attendrons la fin de cette ère puis nous pourront transgresser dans l'air, tel l'albatros, l'albatros, l'albatros.
A suivre si ca vous intéresse...
PS : Petit poème en Anglais :
Sativa :
When the notes came pitched lower;
And the trees gets high;
The stars seems to say something;
Moving like planes into the sky.
Take a look at the grass;
And if it feels wet;
Get a hit from your axe;
Such a smelly sweet and melt smoke.
Then take a look around;
And see the shadows;
After feeling surrounded;
Think about life, still hiting on your axe.
'Cause all of this could be a dream;
But unfortunately, it isn't;
It isn't 'cause we're here;
Still grounded into a world of human beings.
Feelings, this is it;
Like love, friendship, trust;
Should we run about these things;
Or, just carrying at our stuffs.
Now close your eyes;
Get a hit from your axe;
Lay you down on earth;
And feel you rocked by this gigantic globe.
Open your eyes and see how the night is fascinating;
And watch you, almost asleep;
At the end, you're free;
Is this the true, we can't say.
Et un autre en Francais cette fois :
Spectre :
Si tu te penches assez, tu pourras voir la décomposition de la lumière au fond de ton lavabo.
Voilà maintenant un jour ou plus que tu es chez toi, tu penses.
J’avais observé l’angle de pénétration de la lumière, deux spots au plafond, jaunes.
Il y avait un miroir, un miroir rectangulaire, plutôt grand.
Et là, le bouchon d’écoulement de l’eau était entrouvert, il était éclatant.
Aussi éclatant qu’il fût, la lumière était là : le spectre.
Le spectre de la vie, ou la lumière, sans laquelle nous ne serions ici-même.
Cette lumière nous guide dans la vie, se traduisant sous différents sentiments.
Nous la désirons, elle est notre but, cette lumière qui ne cesse de luire.
Sous n’importe quelle forme qu’elle soit, elle est.
Il faut se dire que qui ou quoi que nous soyons, nous sommes, c’est une chance.