Bonjour j'ai commencé à écrire quelques chansons mais le problème c'est que ça fait trop poésie et quand je les écris en français ça fait gnangnan je trouve enfin bref j'aimerais avoir votre avis, vos conseils et vos critiques s'il vous plait pour me dépêtrer de cette manie :)
La boule de cristal
Je marche joyeusement
Le temps est magnifique
Je me cogne contre une paroi de verre,
Voici donc la limite entre rêve et réalité
Mais de quel coté suis-je ?
Je suis dans la boule cristal ?
Aucun trou pour passer
La barrière est infranchissable …
Depuis que Alice est partie,
Je regarde le monde autrement
Mes yeux sont ceux d'un rêveur
Mais la barrière reste infranchissable...
Alors je me ballade
Au gré de ma mélodie
Incapable d'aimer
Enfermé dans la boule cristal...
Qu'il est facile d'être un rêveur
Lorsque la réalité nous entraine,
Dans sa triste mélodie
Alors je me force,
Mais la barrière reste infranchissable...
J'attends désespérément le retour d'Alice
Comment a-t-elle fait ?
Un tourbillon de lumière pour retourner d'ou elle vient
voilà comment a disparu Alice...
Qu'il est difficile d'être un personnage relevant du rêve
Dépendant du va et vient,
De l'imagination du créateur...
Je suis le créateur,
Capable de m'imaginer,
Moi le chapelier fou,
Mais incapable d'aimer..
Alors j'attends la fille de mes rêves
Qui ne viendra jamais
La boule de cristal est solide,
et la paroi infranchissable...
Les fleurs de mon monde continuent
A grandir et faner
Mais Alice ne revient pas
Voilà ce que je suis,
un personnage inventé,
bon à amuser,
incapable de sortir dans la réalité...
Le rêve auquel je me suis accroché
m'enchaine, mtnt je suis bloqué
Enfermé dans ma boule de cristal
Que j'ai créé pour me protéger
J'ai fait du bon travail...
Personne n'entre ni ne sort de ma forteresse de cristal...
On a beau la remuer,
Mais je ne fais que tibuter
Enfermé dans ma réalité.
Comment aimer un personnage,
relevant de l'imaginaire ?
Je comprends pourquoi Alice est partie
Je ne suis et resterai qu'une poussiere d'étoile
Incapable de briller de milles feux
Comme ceux que je vois dans les cieux
Depuis ma boule de cristal infranchissable ...
Le conte de fée
Du haut de ma balancoire
Je regarde le temps passer
A penser tout haut
En chantant tout bas
Vers des reves inavoués
Des reves cachés
La balancoire monte et descent
Mais je ne fais que monter
Monter vers les cieux sans fin
Vers les firmaments étoilés
Le temps est ainsi
A monter sans jamais s'arreter
Mes reves d'enfants sont toujours aussi pres
En etant tellement éloignés...
Qu'est ce que j'aimerais arreter le temps
Qui court avec autant de ferveur
Peut etre un peu trop..
Rever est en soi tellement innocent
Mais tellement devastateur
Maintenant j'ai peur de ne pas avoir le temps
Ce temps qui restreint jour apres jour
Et qui m'oblige a faire des choix
Qu'il est facile de se taire
Et de juste regarder
Tel un spectateur de sa vie
Avec toujours autant de possiblité
En ne faisant pas de choix
On est immortel
Le temps n'a pas son cours
C'est tellement facile...
La balancoire ne s'arrete pas
Fini le temps ou je pouvais sauter pour m'en echapper
De cette lente montée vers cette inconnue
Je ferme une à une les portes vers mes reves
Mais ils sont la
Toujours aussi persistants
Je ne peux m'en defaire..
Je ne veux m'en défaire !!
Pourquoi la vie a inventé cette p*tain de destinée
Je n'ai pas de destin
J'ai juste des reves à accomplir
Et ce ne sont pas les choix qui vont m'en détourner
Alors à nous deux la vie
On va jouer un peu
Juste le temps de revetir ma cape
Pour m'envoler vers les firmaments étoilés
La ou rêve est réalité ...
Le diable dans sa boite
Au tréfonds des Enfers,
Là ou il fait froid,
Vit un etrange petit être
Un être d'effroi
Il se noit dans sa solitude,
Le diable est dans sa boite
Il se demande son erreur
Pourquoi crier d'angoisse ?
Déjà il y a quelques heures,
Il s'est trouvé défait
Lorsque ce monstre voleur
A crié détresse
Son rôle pourtant était simple,
D'un ennui à mourir
De ce damné tout ce sanf,
Il fallait faire sortir
Mais le démon déchainé
tressaillit soudain
En effet être hémophobe
ne fait pas très Malin
Le Diable est dans sa boite
La porte est vérouillée,
Dans son âme isolée
Personne ne sait entrer (Refrain)
Le Diable est dans sa boite
Personne veut lui parler
Du petit diablotin,
On en est apeuré...
Son physique lui était
Tout à fait irréprochable
Rouge des pattes à la corne,
Son trident dans son cartable
Mais c'était bien son coeur
Qui lui posait problème
Lucifer ne pardonne
Les âmes de jouvencelles
(Refrain)
Il chercha donc conseil
Auprès des hommes oiseaux
Qui ne l'acceptèrent
Malgré son bel ego
Ici c'est son physique
Qui lui faisait défault
Les anges n'accèptent
Que ceux qui sont normaux
(Refrain)
Rejetté de toute part,
Il erra sans but
Dans la terre
Comme au ciel,
On ne le vit plus
Ainsi si vous le voyez
Ne lui parlez pas,
Les amis de Diable dans sa boite
On ne les accepte pas.
(Refrain)