Un peu de poésie dans un monde de brutes

"Je suis dur de partout" Greg le millonnaire sur TF1

Partir c'est mourrir un peu
C'est mourrir à ceux qu'on aime
On laisse un peu de soi-meme
En tout heure et en tout lieu

C'est toujours le deuil d'un voeux,
Le dernier vers d'un poeme,
Partir c'est mourrir un peu
C'est mourrir à ceux qu'on aime

Et l'on part et c'est un jeu
Et jusqu'à l'adieu supreme
C'est son ame que l'on seme
Que l'on seme a chaque adieu

Partir c'est mourrir un peu
Partir c'est mourrir un peu

Harraucourt (jespere que ca secrit comme ca..)

Un oublie veut me voir, il faut savoir qu'un oubli peut y croire et ca n'en finit plus, m'pffre un verre, souhaite me recevoir, mais ce jour là je n'ai pu me retenir.
Cher oubli, pourriez-vous vous sortoir de ma tête, je n'ai plus l'envie.
Certes je fus un peu malhonnete, mais je peut plus. J'ai pas de place pour vous dans ma tête. J'ai plus le temps, je ne sais plus comment, je ne sais plus pourquoi, mais bon, je vous ai laisse sur le cote. C'est comme ca, la vie c'est pas toujours commme on veut. Alors s'il vous plait, restez sur le bas cote.
Mais non, cet oubli tient à me voir.
Et ca n'en finit plus, m'offre un autre verre, desire être recu.
mais ce jour là, je n'ai pu me retenir.
Cher oubli pourriez vous vous sortoir de ma tête.
Reviendra t'il?
Au moent ou la vie vous dit bonsoir, mais ou la mort est en retard;
Cher oubli bonsoir.
Tarmac.

ce sont de vrais romans que vous envoyez!

" Oui je suis pour le baise-main, il faut bien commencer par quelque chose " Sacha Guitry.

Chante, Déesse, la colère du Péléide Achille,
pernicieuse colère qui valut aux Achéens d'innombrables malheurs,
précipita chez Hadès les âmes généreuses d'une foule de héros,
et fit de leur corps laproie des chienset de tous les oiseaux;
ainsi s'accomplissait la volonté de Zeus depuis le moment où,
sitôt après leur querelle,
se séparèrent l'Atride roi des guerriers, et le divin Achille.

L'ILLIADE, Chant I,1.

"je reprenderais bien un verre de rouge"moi

"je pardonne aux gens de n'être pas de mon avis, je ne leur pardonne pas de n'être pas du leur". Talleyrand

Dans l'ancienne Edda une femme dit ceci :

Autrefois, il n'y avait rien,
Ni sable, ni mer, ni vagues froides.
Ni terre, ni ciel non plus.
Seul existait l'abîme béant.
Le soleil ne connaissait pas sa demeurre
Et la lune ignorait son royaume.
Les étoiles n'avaient pas trouvé leur place.

Ces vers sont parmis mes préférés, depuis la première fois que je les ai lus. Et chaque fois je les redécouvre avec émmerveilement.

J'en ai retrouvé un autre de Beaudelaire que j'aime beaucoup. Pour tous ceux qui ont des envies d'ailleurs, d'autres visions du monde et de sensations nouvelles...

L'étranger

- Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis? ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère?
- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère.
- Tes amis?
- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu.
- Ta patrie?
- J'ignore sous que latitude elle est située.
- La beauté?
- Je l'aimerais volontier, déesse et immortelle.
- L'or?
- Je le hais comme vous haïssez dieu.
- Eh! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages!

Regarde les cimes mon enfant
Et tourne la tête vers le présent
Le passé ne compte plus l'avenir t'attend

Regarde les cimes vieillard
Tourne la tête vers le corbillard
Qui depuis longtemps t'attend

Regarde les cimes mon amour
Et tourne la tête vers le jour
Car seul l'obscurité t'attend

L'obscurité engloutit ton esprit
Et plus que jamais tu envies
Le moment où la mort t'attend

À force de recul et de bon sens
Les cimes te tendent les bras
Et entre elles tu balances
L'obscurité du destin

Regardez les cimes races humaines
Et tournez la tête vers la paix
Car désormais seule la guerre vous attend

Regarde les cimes grand président
Et tourne la tête vers la mort
Car toute celles que tu as engendrées
T'attendent...
Avec leurs dents acérées

fanfan

l'intelligence est là chose la mieux répartie au monde ; chacun pense en avoir assez. vu que c'est avec elle qu'on le juge.

Coluche citant un de nos philosophes dont j'ai oublier le nom malgrés mon incroyable intelligence

ils ne peuvent pas me dire qui je suis
parce que je ne suis pas ce qu'ils voient
le monde est endormi et j'ai des rêves innassouvis
et leurs paroles ne sont que des mensonges et des chuchotements que je ne croirais jamais

je veux être réél un moment
sentir des choses qu'on ne sent pas
m'accrocher a un but
et dire que c'est mon idéal

traduction de "i'm still here"' de treasure planet
(trés sympa le film sans vouloir faire de la pub)

feu San Antonio écrivait:
"Mesdames, vaut mieux une chiée de types qui posent leur pantalon en votre honneur, qu'un seul seul qui vous le fait repasser."

"il aimait la mort, elle aimait la vie, il vivait pour elle...Elle est morte pour lui..."

L'argent ne fait pas le bonheur des convoyeurs de fonds