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UN JACK STEREO!!
OUI!! un jack stereo, ca c'est une idée... Denis a dit aussi: Citation : un micro rosace Seymour Woody (HC) en complément du piezzo du coup, tu te retrouve dans la config des guitares tres haut de gamme dont je parlais (Taylor...pour ne pas les citer) Merci! Pascal,
http://www.buddyride.net
Denis, stp,
il y a beaucoup de woody chez seymour... le tien, est ce le (seul) simple bobinage, c'est à dire le SA 3SC? ou un des doubles?... il en existe un, le SA 6 mag Mic, have a see: http://www.seymourduncan.com/products/acousticdescr.shtml#woodyxl qui combine un magnetique double, avec une cellule condensateur... tu geres le volume master, et le volume cellule, le micro magnetique double bobinage est lui toujours à l'oeuvre... Ca me parait vraiment baleze... reste à voir le prix, et la dispo en france... Pascal,
http://www.buddyride.net
Moi ça doit être celui-là:
http://www.thomann.de/thoiw9_seymour_duncan_woody_serie_prodinfo.html
En effet, l'alliage de ces 2 types de micros préserve du larsen tout en offrant un son moins froid que le piezo seul. J'ai une Yamaha qui est montée comme ça d'origine et c'est vraiment efficace!
sinon y a ca aussi chez Schertler qui est bien aussi
http://www.gougi.com/fr/schertle/cdyn/index.html
Bonjour,
Pour une restitution acoustique d'un son vous devez utiliser une solution respectant la norme Hi-Fi. Le micro magnétique et la Piézoélectricité sont à exclure car non Haute fidélité. Les solutions sont dans un ordre de qualité et d'efficacité de la résistance au larsen: Les microphones aériens Le DYN G SET Schertler Le C DYN Schertler Le BLUESTICK Schertler - Bi band En dehors de ces technologies, aucune autre solution sur la planète. Le micro arien est la meilleure des solutions pour le studio mais sur scène le larsen est très difficile à gérer en raison de l’espace d’air entre le micro et la source. Lorsque l’utilisation de cette technologie devient impossible, il faut éliminer l‘espace d’air en fixant le micro sur la surface de la table d’harmonie, c’est le DYN G SET et le C DYN Schertler. Possibilité à ce moment de jouer à plus 20dB avant larsen par rapport à un micro aérien. Lorsque la caisse d’harmonie subit la pression de la scène, c'est-à-dire vibre seule ans être excité par les cordes mais par la puissance des retours ou de l’amplificateur, alors il faut éliminer la caisse de l’instrument de musique par une autre technologie un micro sous sillet. Ce sont le BLUESTICK Schertler et le B-band. Le BLUESTICK est une “barrette” constituée d’une chambre unique, et hermétiquement close emplie d’air. Sous la barrette, est fixé un réel microphone électret ultra miniaturisé. Un orifice permet au microphone de mesurer la pression d’air dans la chambre. L’air ne communiquant pas avec l’extérieur, le larsen est impossible. La prise de son est alors une réelle prise de son microphonique d’air reproduisant toutes les nuances du jeu du musicien (Dynamique, jeu sur la touche à la rosace etc…) Le B-band est inspiré de cette technologie, il s’agit de deux plaques polarisées en positif et négatif, séparées par des bulles emplies d’un gaz. Cet ensemble est alors un condensateur. Il est impossible de parler ici d’une réelle prise de son microphonique. Contrairement à la chambre unique du BLUESTICK, le fait d’avoir des bulles comme séparateur, entraine des problèmes dans l’équilibrage des cordes, et un coté percussif dans les notes aigues rappelant la Piezo électricité. La pression de chaque corde sur le micro sillet doit être constante, difficile par exemple de passer d’un accord standard à un open tuning style DAGDAD, sans déséquilibre de puissance entre les cordes. Mais cette technologie n’a rien à voir avec la Piézoélectricité mise en évidence en 1870 par Pierre Curie…. Cordialement à vous, Fabrice Gougi Directeur Schertler France info@gougi.com www.gougi.com |
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